Vanhercke B. and Verdun A.
JCMS: Journal of Common Market Studies, Volume 60, Issue 1, January
doi: 10.1111/jcms.13267
Vanhercke B. and Verdun A.
JCMS: Journal of Common Market Studies, Volume 60, Issue 1, January
doi: 10.1111/jcms.13267
Spasova S.
in Beauvallet W., Robert C., Roullaud E. (eds.), EU affairs. Sociologie des lobbyistes européens, Peter Lang, France.
Vanhercke B. and Verdun A.
Social Europe, Recovery and resilience series, 14 December
Sabato S.
Bruxelles, février 2020, 38p.
Rapport final du projet INVOTUNES
Peña-Casas R. and Ghailani D.
Case study Belgium, OSE Paper Series, Research Paper No.40, May 2019, 37p.
Keune M.
OSE Paper Series, Research Paper No.34, January 2017, 18p.
In Natali D. et Vanhercke B. (dir.)
Bilan social de l'Union européenne 2015, Bruxelles, ETUI et OSE, pp. 273-290.
L'OSE a été chargé par l'Institut syndical européen (ETUI) et la Chambre autrichienne du travail (AK Europa) de mener des recherches qui ont abouti à un rapport intitulé "From the European Semester to the Recovery and Resilience Facility (RRF).
L’OSE et la Fédération syndicale européenne des services publics (EPSU) collaborent au projet mené par la School of Education de l’Université de Nottingham et financé par la Commission européenne. Le projet vise à examiner dans quelle mesure les syndicats des services publics, dans le secteur de l’enseignement en particulier, sont impliqués (ou pas) dans le Semestre européen. Il fournira aux syndicats des services publics les outils nécessaires pour assurer une implication effective dans le Semestre européen. L’OSE organisera des études de cas en France et en Italie.
L’OSE est le coordinateur de ce projet financé par la Commission européenne qui rassemble 10 institutions : des universités (Université de Macerata, Université d’Uppsala et Université de Turku); des instituts de recherche liés aux syndicats (l’Observatoire social européen, l’Institut de recherche économique et sociale de la Fondation Hans Boeckler (WSI) et l’Institut de recherches sociales et syndicales (ISTUR); des centres de recherche indépendants (le Centre d’études pour l’intervention sociale (CESIS), l’Académie des sciences de Bulgarie et l’Académie des sciences de Hongrie).